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Histoire de l'ULB - Les musées de l'ULB
Au cours de l'année académique 2001-2002, le Recteur Pierre De Maret a organisé trois Journées des Musées de l'ULB. L'objectif de cette opération est de permettre aux acteurs des diverses initiatives muséales de l'Université de mieux se connaître et de découvrir les réalisations de chacun d'entre eux. La proposition de création d'un réseau des musées de l'ULB est formulée au cours de la séance de clôture. Ce réseau constituerait un lieu de rassemblement des forces et des moyens, un espace fédérateur d'initiatives ainsi qu'un outil de renouvellement de la pédagogie et un lieu d'apprentissage. En mai 2003, Diana Gasparon (Musée de la Médecine) prend l'initiative de réunir les différents responsables des musées afin de concrétiser la mise en place du réseau.
Le réseau des Musées de l'ULB, association de fait née en mai 2003, fédère 11 musées de l'Université, répartis sur 4 campus bruxellois (Auderghem, Érasme, la Plaine, le Solbosch) et 2 sites wallons (Charleroi-Parentville, Treignes). Il faut ajouter à ces 11 musées les collections universitaires pas ou peu accessibles au public (cartothèque géographique, géologie et minéralogie, instruments électriques anciens, moulages en plâtre, numismatique, entre autres), sans parler des collections dont l'existence demeure encore ignorée... Les 11 musées se rencontrent mensuellement, possèdent un site Internet et établissent et réalisent des projets communs comme les Dimanches des Musées de l'ULB. La motivation qui sous-tend les projets du Réseau est le désir réel de faire rencontrer au public deux types d'institutions aux visages très proches : le Musée et l'Université. En tant qu'outils de recherche, de progrès et gardiens du patrimoine, musée et université sont aussi les conciliateurs de l'art et de la science, domaines souvent considérés comme antagonistes. Les Dimanches des musées de l'ULB constituent la première concrétisation de ce souhait de voir collaborer deux acteurs des scènes culturelle, scientifique et pédagogique, dans le but de partager avec le public leurs connaissances et leurs acquis. En tant qu'association de fait, le Réseau adhère à diverses associations nationales et internationales, telles le Conseil bruxellois des Musées (CBM), l'Association francophone des Musées de Belgique (AFMB) ou le Comité international pour les Musées universitaire (UMAC) de l'ICOM. Les Musées composant le Réseau sont : Le Centre de Culture Scientifique de l'ULB (CCS) de Charleroi-Parentville. Le Centre de Culture Scientifique de l'ULB est un outil de promotion et de diffusion de la culture scientifique. Il est implanté depuis 1994 sur le Campus de Parentville de l'ULB à Charleroi dans un parc de 20 hectares. Il propose des expositions permanentes et temporaires, des expériences interactives, un observatoire astronomique et de nombreuses animations scientifiques destinées aux jeunes et contribue à instaurer une culture scientifique, le goût de la connaissance et de la recherche scientifique. Le Centre propose des activités variées telles des conférences scientifiques, des ateliers et cahiers pédagogiques à l'occasion de chaque exposition temporaire, un laboratoire multimédia et des stages tous publics. Le CCS dispose également d'espaces permanents avec une salle de projection (80 places), un espace des communications et un espace d'expériences interactives. En octobre 2005 s'est ouvert avec le soutien de l'Union européenne et la Région wallonne un espace d'exposition consacré à l'un des pôles majeurs de l'évolution scientifique actuelle, les biotechnologies. L'"Espace des biotechnologies" s'inscrit dans une approche globale de sensibilisation aux nouvelles disciplines scientifiques et aborde les aspects scientifiques, techniques, économiques et sociaux (questions intimement liées à l'éthique et aux choix citoyens) des biotechnologies avec une attention particulière apportée aux formations et aux métiers.
Créé en 1989, le Centre de Recherches et d'Etudes technologiques des Arts plastiques a pour vocation la recherche en histoire de l'art, la didactique à l'attention des étudiants et la sensibilisation du public. Situé sur le Campus du Solbosch (bâtiment H), il présente une collection permanente de photographies et de documents de laboratoire révélant les techniques d'exécution des œuvres d'art, leur genèse et leur état de conservation. Il compte aussi une importante collection de documents relatifs à la conservation-restauration et aux organisations internationales s'occupant du Patrimoine. Le Centre réalise par ailleurs des expositions temporaires (Ensor et les médecins, un diagnostic ; Watteau, technique picturale et problèmes de restauration) et élabore des circuits thématiques (Itinéraire des retables sculpté à volets peints, Itinéraire bruxellois du vitrail, dans le cadre des itinéraires culturels du Conseil de l'Europe). Il a également réalisé une valise pédagogique et édite de feuillets didactiques.
Sur le site de Treignes, l'Écomusée du Viroin présente les principaux métiers traditionnels autrefois pratiqués en Entre-Sambre-et-Meuse. Une collection de milliers d'outils illustre les métiers qui ont fait la richesse économique de la région par le passé.
Fruit de la longue expérience pédagogique du Professeur Albert Art, l'Expérimentarium (Xp) regroupe et présente plusieurs dizaines de manipulations démonstratives de la Physique. En compagnie d'un animateur, l'Xp propose de parcourir les grands chapitres de la Physique : mécanique, électrostatique, électromagnétisme, ondes, optique... Il propose également des« Petits Labos » aux classes du primaire. L'Xp propose également des expositions itinérantes à thèmes : Physique et Musique, Physique et Esthétique, Faisons le Plein d'Energies, l'Effet de Serre... Dépositaire des Collections de Physique de l'ULB il expose par ailleurs plusieurs des remarquables instruments de celles-ci, dont certains sont encore fonctionnels.
Situé à Bruxelles, le Jardin botanique Jean Massart est destiné à la recherche, à l'enseignement universitaire et à la vulgarisation scientifique. Ses collections comprennent près de 2.000 espèces végétales. Avec plus de 300 spécimens, son Jardin des plantes médicinales et aromatiques est l'un des plus riches de Belgique. Dans le Jardin évolutif, plus de 600 espèces de plantes à fleurs sont rassemblées par famille, suivant les grandes lignes de l'évolution, depuis les types primitifs jusqu'aux types les plus évolués. Le Jardin des plantes cultivées présente les plantes domestiquées par l'homme, accompagnées de leurs ancêtres sauvages, et les classe selon leur utilisation. Dans le Verger sont cultivées diverses variétés anciennes d'arbres fruitiers. L'Arboretum comporte pour sa part de nombreuses essences exotiques, parmi lesquelles dominent les conifères. Le Jardin comporte de surcroît une zone humide érigée en réserve naturelle et incorporée au réseau Natura 2000. Enfin, des parcelles expérimentales illustrent des thèmes de recherche développés au laboratoire de Génétique et écologie végétale notamment sur les espèces exotiques envahissantes et sur les espèces résistantes aux pollutions par les métaux lourds.
Situé sur le campus hospitalo-facultaire d'Anderlecht, le Musée d'Anatomie et d'Embryologie humaines expose de multiples spécimens authentiques ayant trait à l'anatomie humaine ainsi que des moulages. Il illustre également le développement humain, par de nombreuses pièces fœtales normales ou tératologiques, des moulages et des documents iconographiques. Une section est consacrée aux pathologies osseuses et plusieurs vitrines évoquent l'anatomie dentaire, l'anatomie comparée de l'appareil masticateur et les anomalies dentaires.
Sur le Campus Erasme, le Musée de la Médecine, présente une exposition permanente qui révèle les étapes marquantes de l'histoire de la médecine en commençant par les premières tentatives de soins centrées sur les pratiques magico-religieuses. L'exposition s'articule autour du serment d'Hippocrate. Elle présente ensuite les figures les plus emblématiques qui jalonnent l'histoire des grandes découvertes médicales. La mise en scène du progrès médical se fait de manière chronologique et en présente les dimensions aussi bien magiques et religieuses que scientifiques. Une autre partie de l'exposition est consacrée aux médecines non-européennes (précolombiennes, africaines, ...) et permet de comparer les méthodes de soins et apprécier le bénéfice apporté par les échanges culturels. La dernière partie de l'exposition présente de près de 300 cires anatomiques de type « Spitzner ». Cette collection du XIXe siècle illustre les maladies de la peau et des organes et montre certaines techniques médiales et chirurgicales de l'époque. Une salle entière, dont l'accès est réservé à un public averti, est consacrée principalement aux maladies vénériennes.
Installé dans les locaux de l'Institut de Pharmacie, le Musée des Plantes médicinales et de la Pharmacie, présente les étapes successives qui ont jalonné l'utilisation des ressources naturelles en tant que médicaments. Il présente aussi bien les plantes médicinales porteuses d'espoirs de guérison que des plantes mythiques, maléfiques, de vie ou de mort, ou des plantes recherchées pour leurs propriétés hallucinogènes, poisons, farines contaminées et responsables de milliers d'infirmes et de morts au Moyen-âge. Débutée dans la deuxième partie du XIXème siècle, cette collection réunit des échantillons et des modèles en soie de plantes médicinales, des produits pharmaceutiques anciens et contemporains ainsi que des appareils d'extraction, d'analyse et de préparation des médicaments.
Depuis sa création au XIXème siècle, de nombreux spécimens ont enrichi le Muséum de Zoologie. Actuellement sur le Campus de Solbosch (bâtiment U), il compte plusieurs milliers de spécimens représentatifs de tous les groupes zoologiques actuels ; environ 3000 d'entre eux sont exposés au public de façon permanente. Ces collections très complètes ont pour fil conducteur l'évolution des espèces animales. L'accent est mis sur les adaptations particulières des organismes, dont le visiteur est invité à découvrir la diversité. Parmi les acquisitions majeures, le Musée compte un impressionnant spécimen de cœlacanthe capturé en 1981. Cet illustre poisson, qui n'a pratiquement pas évolué depuis 400 millions d'années, a fait la une des journaux au moment de sa découverte car il est proche des vertébrés terrestres, même s'il a été un peu vite considéré comme leur ancêtre direct. Le muséum se veut un outil dédié aux étudiants, enseignants, chercheurs et naturalistes ainsi qu'à ceux qui s'intéressent aux sciences zoologiques. Il comprend également une salle d'anthropologie présentant l'évolution humaine.
Depuis 1979, la Salle Allende est la première salle d'exposition d'art contemporain de l'Université libre de Bruxelles. Au cœur du Campus du Solbosch, elle est essentiellement dévolue à deux objectifs : accueillir diverses expositions émanant de la communauté universitaire et, depuis 1999, présenter une programmation propre axée sur les arts plastiques et plus récemment, sur le processus créatif contemporain.
Le réseau des Musées de l'ULB, association de fait née en mai 2003, fédère 11 musées de l'Université, répartis sur 4 campus bruxellois (Auderghem, Érasme, la Plaine, le Solbosch) et 2 sites wallons (Charleroi-Parentville, Treignes). Il faut ajouter à ces 11 musées les collections universitaires pas ou peu accessibles au public (cartothèque géographique, géologie et minéralogie, instruments électriques anciens, moulages en plâtre, numismatique, entre autres), sans parler des collections dont l'existence demeure encore ignorée... Les 11 musées se rencontrent mensuellement, possèdent un site Internet et établissent et réalisent des projets communs comme les Dimanches des Musées de l'ULB. La motivation qui sous-tend les projets du Réseau est le désir réel de faire rencontrer au public deux types d'institutions aux visages très proches : le Musée et l'Université. En tant qu'outils de recherche, de progrès et gardiens du patrimoine, musée et université sont aussi les conciliateurs de l'art et de la science, domaines souvent considérés comme antagonistes. Les Dimanches des musées de l'ULB constituent la première concrétisation de ce souhait de voir collaborer deux acteurs des scènes culturelle, scientifique et pédagogique, dans le but de partager avec le public leurs connaissances et leurs acquis. En tant qu'association de fait, le Réseau adhère à diverses associations nationales et internationales, telles le Conseil bruxellois des Musées (CBM), l'Association francophone des Musées de Belgique (AFMB) ou le Comité international pour les Musées universitaire (UMAC) de l'ICOM. Les Musées composant le Réseau sont : Le Centre de Culture Scientifique de l'ULB (CCS) de Charleroi-Parentville. Le Centre de Culture Scientifique de l'ULB est un outil de promotion et de diffusion de la culture scientifique. Il est implanté depuis 1994 sur le Campus de Parentville de l'ULB à Charleroi dans un parc de 20 hectares. Il propose des expositions permanentes et temporaires, des expériences interactives, un observatoire astronomique et de nombreuses animations scientifiques destinées aux jeunes et contribue à instaurer une culture scientifique, le goût de la connaissance et de la recherche scientifique. Le Centre propose des activités variées telles des conférences scientifiques, des ateliers et cahiers pédagogiques à l'occasion de chaque exposition temporaire, un laboratoire multimédia et des stages tous publics. Le CCS dispose également d'espaces permanents avec une salle de projection (80 places), un espace des communications et un espace d'expériences interactives. En octobre 2005 s'est ouvert avec le soutien de l'Union européenne et la Région wallonne un espace d'exposition consacré à l'un des pôles majeurs de l'évolution scientifique actuelle, les biotechnologies. L'"Espace des biotechnologies" s'inscrit dans une approche globale de sensibilisation aux nouvelles disciplines scientifiques et aborde les aspects scientifiques, techniques, économiques et sociaux (questions intimement liées à l'éthique et aux choix citoyens) des biotechnologies avec une attention particulière apportée aux formations et aux métiers.
Créé en 1989, le Centre de Recherches et d'Etudes technologiques des Arts plastiques a pour vocation la recherche en histoire de l'art, la didactique à l'attention des étudiants et la sensibilisation du public. Situé sur le Campus du Solbosch (bâtiment H), il présente une collection permanente de photographies et de documents de laboratoire révélant les techniques d'exécution des œuvres d'art, leur genèse et leur état de conservation. Il compte aussi une importante collection de documents relatifs à la conservation-restauration et aux organisations internationales s'occupant du Patrimoine. Le Centre réalise par ailleurs des expositions temporaires (Ensor et les médecins, un diagnostic ; Watteau, technique picturale et problèmes de restauration) et élabore des circuits thématiques (Itinéraire des retables sculpté à volets peints, Itinéraire bruxellois du vitrail, dans le cadre des itinéraires culturels du Conseil de l'Europe). Il a également réalisé une valise pédagogique et édite de feuillets didactiques.
Sur le site de Treignes, l'Écomusée du Viroin présente les principaux métiers traditionnels autrefois pratiqués en Entre-Sambre-et-Meuse. Une collection de milliers d'outils illustre les métiers qui ont fait la richesse économique de la région par le passé.
Fruit de la longue expérience pédagogique du Professeur Albert Art, l'Expérimentarium (Xp) regroupe et présente plusieurs dizaines de manipulations démonstratives de la Physique. En compagnie d'un animateur, l'Xp propose de parcourir les grands chapitres de la Physique : mécanique, électrostatique, électromagnétisme, ondes, optique... Il propose également des« Petits Labos » aux classes du primaire. L'Xp propose également des expositions itinérantes à thèmes : Physique et Musique, Physique et Esthétique, Faisons le Plein d'Energies, l'Effet de Serre... Dépositaire des Collections de Physique de l'ULB il expose par ailleurs plusieurs des remarquables instruments de celles-ci, dont certains sont encore fonctionnels.
Jean Massart
Situé à Bruxelles, le Jardin botanique Jean Massart est destiné à la recherche, à l'enseignement universitaire et à la vulgarisation scientifique. Ses collections comprennent près de 2.000 espèces végétales. Avec plus de 300 spécimens, son Jardin des plantes médicinales et aromatiques est l'un des plus riches de Belgique. Dans le Jardin évolutif, plus de 600 espèces de plantes à fleurs sont rassemblées par famille, suivant les grandes lignes de l'évolution, depuis les types primitifs jusqu'aux types les plus évolués. Le Jardin des plantes cultivées présente les plantes domestiquées par l'homme, accompagnées de leurs ancêtres sauvages, et les classe selon leur utilisation. Dans le Verger sont cultivées diverses variétés anciennes d'arbres fruitiers. L'Arboretum comporte pour sa part de nombreuses essences exotiques, parmi lesquelles dominent les conifères. Le Jardin comporte de surcroît une zone humide érigée en réserve naturelle et incorporée au réseau Natura 2000. Enfin, des parcelles expérimentales illustrent des thèmes de recherche développés au laboratoire de Génétique et écologie végétale notamment sur les espèces exotiques envahissantes et sur les espèces résistantes aux pollutions par les métaux lourds.
Situé sur le campus hospitalo-facultaire d'Anderlecht, le Musée d'Anatomie et d'Embryologie humaines expose de multiples spécimens authentiques ayant trait à l'anatomie humaine ainsi que des moulages. Il illustre également le développement humain, par de nombreuses pièces fœtales normales ou tératologiques, des moulages et des documents iconographiques. Une section est consacrée aux pathologies osseuses et plusieurs vitrines évoquent l'anatomie dentaire, l'anatomie comparée de l'appareil masticateur et les anomalies dentaires.
Sur le Campus Erasme, le Musée de la Médecine, présente une exposition permanente qui révèle les étapes marquantes de l'histoire de la médecine en commençant par les premières tentatives de soins centrées sur les pratiques magico-religieuses. L'exposition s'articule autour du serment d'Hippocrate. Elle présente ensuite les figures les plus emblématiques qui jalonnent l'histoire des grandes découvertes médicales. La mise en scène du progrès médical se fait de manière chronologique et en présente les dimensions aussi bien magiques et religieuses que scientifiques. Une autre partie de l'exposition est consacrée aux médecines non-européennes (précolombiennes, africaines, ...) et permet de comparer les méthodes de soins et apprécier le bénéfice apporté par les échanges culturels. La dernière partie de l'exposition présente de près de 300 cires anatomiques de type « Spitzner ». Cette collection du XIXe siècle illustre les maladies de la peau et des organes et montre certaines techniques médiales et chirurgicales de l'époque. Une salle entière, dont l'accès est réservé à un public averti, est consacrée principalement aux maladies vénériennes.
Installé dans les locaux de l'Institut de Pharmacie, le Musée des Plantes médicinales et de la Pharmacie, présente les étapes successives qui ont jalonné l'utilisation des ressources naturelles en tant que médicaments. Il présente aussi bien les plantes médicinales porteuses d'espoirs de guérison que des plantes mythiques, maléfiques, de vie ou de mort, ou des plantes recherchées pour leurs propriétés hallucinogènes, poisons, farines contaminées et responsables de milliers d'infirmes et de morts au Moyen-âge. Débutée dans la deuxième partie du XIXème siècle, cette collection réunit des échantillons et des modèles en soie de plantes médicinales, des produits pharmaceutiques anciens et contemporains ainsi que des appareils d'extraction, d'analyse et de préparation des médicaments.
Depuis sa création au XIXème siècle, de nombreux spécimens ont enrichi le Muséum de Zoologie. Actuellement sur le Campus de Solbosch (bâtiment U), il compte plusieurs milliers de spécimens représentatifs de tous les groupes zoologiques actuels ; environ 3000 d'entre eux sont exposés au public de façon permanente. Ces collections très complètes ont pour fil conducteur l'évolution des espèces animales. L'accent est mis sur les adaptations particulières des organismes, dont le visiteur est invité à découvrir la diversité. Parmi les acquisitions majeures, le Musée compte un impressionnant spécimen de cœlacanthe capturé en 1981. Cet illustre poisson, qui n'a pratiquement pas évolué depuis 400 millions d'années, a fait la une des journaux au moment de sa découverte car il est proche des vertébrés terrestres, même s'il a été un peu vite considéré comme leur ancêtre direct. Le muséum se veut un outil dédié aux étudiants, enseignants, chercheurs et naturalistes ainsi qu'à ceux qui s'intéressent aux sciences zoologiques. Il comprend également une salle d'anthropologie présentant l'évolution humaine.
Depuis 1979, la Salle Allende est la première salle d'exposition d'art contemporain de l'Université libre de Bruxelles. Au cœur du Campus du Solbosch, elle est essentiellement dévolue à deux objectifs : accueillir diverses expositions émanant de la communauté universitaire et, depuis 1999, présenter une programmation propre axée sur les arts plastiques et plus récemment, sur le processus créatif contemporain.
Histoire de l'ULB
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